Comment gérer sa carrière artistique ?

Un artiste professionnel doit répondre à différentes contraintes artistiques, mais également extra artistiques. Il est créatif, mais c’est aussi un artisan qui doit savoir gérer sa carrière artistique.

S’il veut de la reconnaissance et vivre de son art, il se doit de maîtriser parfaitement les règles du métier d’artiste.

Mais pour devenir un artiste renommé, ou plus modestement, pour acquérir une certaine popularité, il doit aussi maitriser bien d’autres domaines. Promouvoir son œuvre auprès d’un public large, étendre sa renommée et sa visibilité, tels sont les enjeux essentiels pour que l’artiste puisse obtenir une certaine notoriété auprès du public et des professionnels.

Pour atteindre son but, l’artiste devra, soit prendre tous ces domaines à bras le corps, soit recourir à des services de professionnels.

Dans son accompagnement de la carrière des artistes contemporains, Art4You a pour volonté d’étendre ses services aux artistes, en complément de son activité de galeriste.

Dans cette section, vous trouverez quelques conseils et pistes de réflexion pour construire ou développer votre carrière d’artiste.

Pexel Inconnu

La carrière artistique : un gros mot

Une carrière d’artiste se bâtit généralement sur le moyen ou le long terme.

Cela implique de prendre quelques bonnes décisions dès le départ.

L’artiste doit définir ses objectifs et les actions à mener pour y parvenir.

Comme un entrepreneur, il doit suivre son projet dans le temps et l’ajuster si besoin.

Bien sûr, internet permet aujourd’hui d’exposer facilement les œuvres à un public très large. Mais être présent sur les réseaux comme Instagram ou sur une galerie en ligne ne suffit pas.

Si vous êtes un artiste débutant et que vous espérez devenir un artiste connu et vendre vos œuvres à un bon prix, en plus de votre talent, vous devrez faire preuve de ténacité.

Il faudra passer par l’apprentissage et la maîtrise de domaines différents, souvent très éloignés de vos préoccupations artistiques !

Si vous avez la chance d’être un artiste qui bénéficie déjà d’une certaine popularité et si vous vivez de la vente de vos œuvres, les mêmes leviers devront être mis en œuvre afin de :

    • Développer votre popularité existante ;

    • Augmenter le volume de vos ventes ;

    • augmenter le prix de vos œuvres et votre cotation d’artiste.

Au sommaire :

    • L’artiste, un « maître » de sa technique

    • La qualité des matériaux et du travail

    • Le nom d’artiste est une marque

    • L’organisation

    • La production artistique

    • Comment se faire connaitre en tant qu’artiste ?

    • Faut-il créer en pensant à l’acheteur ?

L’artiste, un « maître » de sa technique

Maîtriser sa technique est un premier point, je dirai même un prérequis, pour prétendre faire carrière en qualité d’artiste. Je ne m’étendrai donc pas sur ce point.

Bien sûr, cela n’empêche pas d’expérimenter de nouvelles techniques. Mais l’expérimentation doit être faite en toute connaissance de cause, en respectant le futur acheteur. Au besoin, utiliser des épreuves test, qui ne seront pas destinées à la vente.

La maîtrise d’un art et de techniques particulières ne sont jamais définitivement acquises. Il vous faudra sans cesse vous améliorer, afin de devenir une référence dans votre domaine et de le rester. Car atteindre l’inaccessible Étoile est bien le but de tout artiste véritable. C’est tout aussi vrai pour la technique que pour la création pure, l’idée et le concept artistique.

Atteindre l’excellence doit être une obsession.

La qualité des matériaux et du travail

Cela semblera évident pour le plus grand nombre, mais la qualité est un élément primordial, parfois malheureusement oublié au profit de l’idée ou du concept artistique.

Art durable et de qualité

Une œuvre d’art se doit d’être un objet de qualité et durable. Un tableau est censé pouvoir durer au moins une centaine d’années sans problème.

Pour un acheteur, acquérir un tableau et voir ses couleurs ou la matière se détériorer en quelques années est inacceptable.

Choisir des matériaux de qualité, tester la tenue de certains mélanges chimiques est également important.

Par exemple, un sculpteur sur métal devra connaitre les propriétés des métaux avec lesquels il travaille.

En effet, certains métaux se mélangent très mal entre eux et produisent une oxydation accélérée, appelée oxydation galvanique.

Il en va de même pour certaines résines, les vernis, les colles et de nombreux matériaux.

Pensez à soigner particulièrement la finition de vos œuvres, faites honneur au futur acheteur !

Le cadre d’un tableau se doit d’être solide et irréprochable, ainsi que l’éventuel encadrement.

Idem pour les socles de sculpture et les armatures internes.

Le nom d’artiste est une marque

Le choix d’un nom d’artiste est parfois évident et facile, mais parfois ce choix peut s’avérer plus délicat et conduire à des erreurs contre productives pour la renommée de l’artiste.

La première question à se poser est : existe-t-il un artiste portant le même nom que moi ?

En effet, il n’est pas rare aujourd’hui que plusieurs artistes contemporains, peintres, sculpteurs ou photographes, utilisent le même nom.

Parfois, il s’agit de leur vrai nom. Si vous vous appelez Claude Monnet ou Camille Claudel, bien sûr, il n’est pas impossible que ce nom puisse vous apporter de la visibilité. Car comme disait Jean-Claude Duss dans Les Bronzés font du ski, « sur un malentendu, ça peut marcher » !

En règle générale, il est indispensable de faire une recherche. Internet nous fournit pour cela des outils très puissants.

Parfois, l’artiste se choisit un surnom ou un nom d’artiste. C’est une option qui comporte pas mal d’avantages, mais à condition de faire une recherche préalable pour s’assurer qu’il n’existe pas un homonyme. Surtout si ce dernier pratique le même art que vous, voire le même style. Il n’est d’ailleurs pas impossible, surtout dans le cas d’un surnom, que vous puissiez être poursuivi en justice, comme pour la copie d’une marque commerciale.

Dans l’idéal, votre nom d’artiste sera unique et facilement mémorisable.
S’il ne s’agit pas de votre nom officiel, choisissez de préférence un nom qui vous va bien et qui s’accorde avec votre style artistique.

Il sera préférable d’utiliser toujours le même nom, qui signera également vos œuvres.

Si vous deviez changer de nom en cours de carrière, cela est bien sûr possible, mais très risqué en termes de notoriété. Ce changement devra être murement réfléchi. Il faudra sans doute multiplier vos efforts en communication à propos de ce changement de nom, comme pour tout changement de marque commerciale.

Certains artistes décident d’utiliser un nom différent pour réaliser des travaux spécifiques : expérimentations, commandes publiques ou oeuvres à bas prix. Ce choix peut présenter un intérêt, mais attention à ne pas brouiller votre image auprès du public. Encore une fois, il s’agit de bien réfléchir à une stratégie en amont.

Doit-on déposer son nom d’artiste ?

Le fait de déposer un nom d’artiste n’est pas une formalité obligatoire. Il est toutefois possible d’enregistrer un nom d’artiste auprès de l’INPI. L’Institut National de la propriété industrielle vous permet également de protéger une œuvre ou une idée, par le biais de l’enveloppe Soleau.

La formalité de dépôt d’un nom ou d’une « marque » auprès de l’INPI passe par un processus de recherche.

Cela vous permet de vous assurer que le nom n’a pas déjà été déposé.

L’organisation

Le dessinateur et peintre Alex Varenne, disparu aujourd’hui, avait des habitudes de vieux garçon.

Par exemple, il déjeunait tous les midis dans le même restaurant parisien. Il s’y rendait très ponctuellement au quotidien et cette habitude avait pour moi quelque chose de rigide. Un jour où nous avions décidé de déjeuner ensemble, je lui faisais remarquer que ce restaurant n’avait rien d’extraordinaire et que nous pourrions aller déjeuner ailleurs.
Alex m’expliqua alors la principale raison de ce train train quotidien :

« Dans mon activité, me dit-il, je n’ai aucune contrainte. » Je ne suis pas obligé de me lever le matin comme un employé. Parfois, je n’ai pas envie de dessiner et je resterais bien au lit ou dans mon canapé.
C’est pourquoi je m’impose une autodiscipline. Mes journées de travail obéissent à un rythme précis, quasiment rituel. Sans cette méthode, je ne serais jamais arrivé à produire comme je l’ai fait, et peut-être même que j’aurais beaucoup moins développé ma technique de dessin et de peinture ».

Cette petite conversation a agi sur moi comme un révélateur. Non seulement, elle m’a aidé à mieux comprendre le comportement de mon ami, mais Alex m’a donné ce jour là une clé importante et une leçon de vie. Cet évènement m’a permis par la suite une réelle augmentation de ma productivité.

L’organisation et l’autodiscipline sont des atouts majeurs de productivité.

Ainsi, grâce à lui, j’ai découvert que s’imposer des contraintes au quotidien conduisait finalement à une plus grande liberté.

Savoir gérer son temps pour un artiste est donc un point essentiel.

Organiser les différentes tâches permet d’y voir plus clair et de planifier les étapes importantes.

Cela permet également de se libérer l’esprit lors de notre pratique créative.

Quand on est bien organisé, on est beaucoup moins pollué par les tracas quotidiens, par les tâches administratives qui traînent depuis des semaines et que l’on repousse sans cesse jusqu’aux dernières limites. On est alors beaucoup plus serein pour pratiquer notre art.

À ce sujet, je vous conseille l’article d’Amylee, savoir gérer son temps d’artiste, qui propose un « calendrier professionnel de l’artiste ». Ce calendrier est un exemple, que vous pourrez adapter et personnaliser selon vos besoins.

La production artistique

Le terme de production artistique peut sembler paradoxal. La production est généralement associée à des objets et des processus de fabrication industriels.

La création artistique, quant à elle, reste un mystère qui n’est pas près d’être élucidé.

Pourtant, l’artiste professionnel se doit bien de « produire et produire encore » des œuvres d’art.

Ce faisant, il perfectionne sa technique.

Produire plus d’œuvres permet également d’étoffer son catalogue ou portfolio d’artiste.

Ainsi, les chances de pouvoir exposer différentes œuvres se multiplient. Les possibilités de vente augmentent également.

Il peut arriver aussi, et c’est heureux, de devoir répondre à une commande, voire une commande de plusieurs œuvres. Dans ce cas, il est préférable d’avoir un certain « workflow » de création plus ou moins maîtrisé.

Comme évoqué dans le chapitre précédent, l’organisation joue un grand rôle dans la « productivité » de l’artiste.

Planifier les heures ou les jours où vous vous consacrerez uniquement à votre activité créatrice vous apportera une vision beaucoup plus claire et vous permettra, si besoin, d’adapter votre emploi du temps.

L’idée que la vie est remplie de surprises est en grande partie fausse : même s’il peut toujours exister des imprévus, l’activité humaine est constituée essentiellement de tâches répétitives et prévisibles.

Planifier permet d’être plus efficient. Une vision claire de son activité permet de répondre plus efficacement aux imprévus, en réajustant son organisation.

 

Comment se faire connaitre en tant qu’artiste ?

Aujourd’hui plus que jamais, la promotion d’un artiste est un travail à part entière.

Dans le domaine de l’art, la concurrence est très forte et l’avenir toujours incertain.

Si vous ne disposez pas d’un agent dédié à votre communication et à la promotion de vos oeuvres, il vous faudra prendre cet univers à bras le corps. Dans la section se faire connaitre en tant qu’artiste, vous trouverez des articles détaillés sur tous les leviers à mettre en oeuvre pour accroitre votre notoriété.

Internet et les réseaux sociaux

Heureusement, Internet et les réseaux sociaux permettent aujourd’hui de communiquer facilement, du moins en apparence.
Car là encore, la compétition est rude et les techniques utilisées pour être visible deviennent de plus en plus complexes et coûteuses.

L’artiste moderne doit savoir maîtriser ces nouveaux outils. Au besoin, il peut être profitable de suivre une formation ou de se faire aider pour utiliser ces médias. Mais attention, il y a là pas mal de vendeurs de rêves.

Dans tous les cas, gardez à l’esprit que la communication sur Internet demande beaucoup de temps et d’énergie pour obtenir un certain niveau de popularité.

Mais surtout, il ne suffit pas de communiquer à tout-va.

Penser en amont votre stratégie de communication et planifier vos publications vous permettra d’être plus efficace dans votre « message ». Cette préparation vous permettra également d’économiser du temps et de l’énergie.

Les principaux leviers sur lesquels il vous faudra travailler, qu’il s’agisse d’un site Internet ou des réseaux sociaux, sont :

  • La qualité du contenu : soyez pertinent et intéressant. Faites preuve d’empathie pour votre public. Adressez-vous à lui et ne restez pas trop centrés sur vous-même et votre travail ;
  • La quantité du contenu : plus il y en a, mieux c’est. Néanmoins, il faut conserver un bon niveau de qualité. Le cas échéant, vous pouvez hiérarchiser la qualité de votre contenu en fonction de son importance. Ne pas oublier d’insérer photos, vidéos, et même pourquoi pas de l’audio (podcast), les moteurs de recherche en raffolent !
  • La fraîcheur du contenu : alimentez ces outils régulièrement de nouveaux contenus. Choisissez la fréquence qui vous convient : journalière, hebdomadaire ou mensuelle ;
  • Concernant votre site Internet, cherchez à obtenir des liens entrants ou backlinks ;
  • Passez du temps à développer vos carnets d’adresses et vos contacts ;
  • Publiez sur toutes les expositions auxquelles vous participez, avant, pendant et juste après l’évènement ;
  • Sur les réseaux sociaux, pour provoquer de l’engagement, n’hésitez pas à commenter les autres posts dans votre thématique et à répondre aux commentaires.
  • Utilisez ces outils de manière professionnelle. Ne mélangez pas votre travail avec votre vie familiale ou vos activités annexes, sauf si cela a du sens.
  • Tout cela va vous prendre du temps, surtout au début. Ensuite, plus vous aurez réussi à provoquer de l’engagement, plus votre réseau sera animé par vos abonnés, et moins vous aurez besoin d’y investir votre temps.

     

La cote d’artiste

La cote d’artiste représente un bon moyen de valoriser une carrière d’artiste.

Pour l’artiste contemporain, la cote peut être évaluée à partir de différents critères :

  • Les ventes effectives de l’artiste ;

     

  • Le parcours artistique, les formations, écoles d’art,..

     

  • Les expositions dans des foires internationales, comme Paris Art Fair, la FIAC, Art Basel, ou encore Frieze à Londres ou TEFAF (New York – Maastricht);

     

  • Et la cerise sur le gâteau : les ventes au second marché ou ventes aux enchères, telles que l’hôtel Drouot ou encore Christie’s.

     

Les sites de cotation d’artistes

Des sites spécialisés, comme I-cac ou Artprice, permettent d’établir et d’afficher la cotation des artistes peintres professionnels.

La galerie d’art

La galerie d’art a également un rôle important à jouer : elle conseille l’artiste sur les prix de vente à pratiquer. Les ventes effectuées par la galerie participent à l’élaboration de la cote d’artiste.

En assurant la promotion de l’artiste, la galerie permet peu à peu d’augmenter les prix et de faire grimper sa cote en fonction de la demande.

Les ventes effectuées sur une galerie d’art en ligne, comme celle d’Art4You, participent également à l’élaboration de la renommée d’artiste.

La vente directe

Les ventes en direct de l’atelier d’artiste sont tout à fait valables pour établir une cote de l’artiste.

Attention cependant, certains artistes, sous prétexte que la vente en direct économise la part prélevée par la galerie, bradent leurs œuvres. Cette pratique présente deux inconvénients majeurs :

Elle déprécie le travail de l’artiste, et par conséquent sa cote;

Elle fait perdre tout crédit à l’artiste de la part de ses partenaires, mais également de ses clients.

Le prix de vente, fixé en accord avec la galerie, correspond en effet à la notoriété et à la cote de l’artiste sur le marché de l’art contemporain. Si vous vendez un tableau ou une sculpture en direct, basez-vous sur le prix fixé avec la galerie. Vous pourrez toujours accorder une remise à votre acheteur, mais de grâce, ne bradez jamais vos oeuvres !

Les expositions

Pour bâtir ou conforter votre réputation d’artiste, le moyen le plus évident est d’exposer le plus possible votre travail. Vos oeuvres doivent être visibles dans différentes expositions et salons d’art.

Si vous en avez la possibilité, exposez en France mais également à l’étranger.

Variez les endroits et revenez régulièrement exposer dans les lieux qui vous conviennent le mieux.

Lors des salons et expositions d’art contemporain, vous avez non seulement l’occasion de vendre, mais également de communiquer sur ces évènements. Et si vous pouvez obtenir un article dans un journal, voire un lien vers votre site d’artiste ou vers votre page dans une galerie en ligne, c’est encore mieux.

Exposer est aussi un excellent moyen de confronter son travail avec un public large et diversifié.

Législation de l’art : être informé sur les aspects administratifs et juridiques du marché de l’art

Comme pour toute entreprise, il est indispensable de se tenir au courant des démarches administratives à accomplir, ainsi que des lois qui règlementent la profession. Vous pouvez vous tenir informé par vous-même ou vous faire conseiller. Nous avons créé la section “Droit du marché de l’art” pour tenter de vous fournir un maximum d’informations utiles. Cette section sera régulièrement enrichie et mise à jour.

Si vous utilisez les services d’un comptable, ce dernier peut répondre à un grand nombre de questions juridiques et administratives. Il saura par ailleurs vous conseiller pour vos démarches de création et de modification d’entreprise.

Pour les questions fiscales, n’hésitez pas à questionner également votre service des impôts.

Faut-il créer en pensant à l’acheteur ?

Cette question peut sembler provocatrice. Bien sûr, il ne s’agit pas ici de produire des oeuvres avec l’obsession de vendre. La démarche créatrice d’un artiste n’appartient qu’à lui.

Il n’est cependant jamais inutile de se tenir au courant des tendances du marché de l’art.

Les échanges avec votre galeriste et d’autres artistes sont souvent très profitables.

Parfois, une discussion peut faire surgir de nouvelles idées.

Fréquenter les expositions et les art fairs en « touriste » est une excellente occasion d’admirer le travail d’autres artistes et parfois même d’échanger avec eux.

Cela permet d’affiner son style et de se différencier. C’est également un bon moyen d’observer l’attitude des acheteurs.

Vous souhaitez booster votre carrière d’artiste ? Parlons-en

Si vous avez pris la décision de prendre votre carrière d’artiste en main, c’est que vous avez bien compris qu’il ne s’agit pas d’une mince affaire.

Chez Art4You, nous sommes confrontés à ces enjeux de manière quotidienne et nous avons très souvent de grandes discussions avec les artistes Art4You. Ces “services aux artistes” font partie intégrante de notre travail de galeriste.

Si vous avez des questions en suspens, nous serions ravis d’échanger avec vous.

Nous pouvons vous fournir une somme de renseignements pour renforcer votre image, en utilisant différents canaux :

     

    • Les canaux conventionnels : expositions, salons et art fairs

    • Les canaux numériques : sites Internet et réseaux sociaux. Des canaux de visibilité efficaces, à condition de bâtir une stratégie et de bien comprendre le fonctionnement des différents algorithmes.

N’hésitez pas à nous contacter.