A l’aube du renouveau – Françoise Dugourd-Caput

À l’aube du renouveau est une peinture de passage, de transformation, où la ville devient le théâtre d’un recommencement. Par sa maîtrise de la couleur, de la lumière et de la matière, Françoise Dugourd-Caput compose une œuvre d’une grande sensibilité urbaine et méditative.  C’est une aube picturale, mais aussi symbolique : celle de l’espoir, du renouveau, de ce qui renaît malgré les ombres. Une œuvre habitée, subtile et résolument tournée vers la lumière.

80 x 80 cm

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1 600,00

Disponible

Critique de l’œuvre À l’aube du renouveau de Françoise Dugourd-Caput

Avec À l’aube du renouveau, Françoise Dugourd-Caput offre une vision poétique et lumineuse d’un paysage urbain imaginaire, comme figé dans l’attente du jour.  La toile s’ouvre sur une scène presque irréelle, baignée d’une lumière montante qui semble dissiper les ombres, réveiller la matière, raviver les couleurs.  Ce n’est pas seulement une ville qu’on voit émerger, mais un moment de bascule entre la nuit et l’espérance, entre le silence et la vie.

Une ville abstraite, à la frontière du rêve :  Le paysage urbain, s’il est reconnaissable par la verticalité de ses tours et la trame de ses volumes, reste volontairement flou, presque spectral.  Les bâtiments n’ont pas de contours nets, les fenêtres sont des points de lumière suspendus. Cette absence de précision figurative permet à l’imaginaire de circuler librement. On y voit autant une métropole que le souvenir d’un monde intérieur en recomposition.

Une matière vibrante, habitée par la lumière :  La technique mixte, combinant acrylique et huile travaillée au couteau, donne à la surface une densité texturée, riche en reliefs et en transparences.  Certaines zones, notamment les façades et les feuillages, semblent crépiter sous l’effet de la lumière. Les empâtements colorés suggèrent des mouvements d’énergie, comme si la ville respirait, se réchauffait lentement sous le premier rayon du jour.

Une palette chromatique en transition :  La toile est construite sur une gamme de contrastes chauds et froids : le bleu profond des tours et du ciel nocturne s’oppose à l’or orangé de l’aurore.  Ce choc lumineux n’est pas brutal, mais progressif, comme un fondu enchaîné entre la nuit et le jour.  Le violet, omniprésent dans la zone basse, agit comme une membrane entre les deux états.  Tout semble être en mutation lente.

Informations complémentaires

Dimensions 80 × 80 × 3 cm
Année

2020

Cadre

Non

Technique utilisée

Technique Mixte

Oeuvre originale

Oui

Pièce unique

Oui

Certificat d'authenticité

Oui

Signature

Oui